Après une année quelque peu chaotique, voici le retour (théorique) du beau temps et de la chaleur, et de ma traditionnelle « saison estivale ». Peut-on parler de tradition pour un 7^e numéro ? Je ne vais pas déroger cette année et vous présenter mes coups de cœur. Accrochez-vous, ces derniers mois ont été remplis de belles surprises !

Curieux de tout ? Les dessous des cartes, des jupons de l’Histoire, les anecdotes croustillantes et les faits divers vous attirent ? Au contraire, vous avez l’impression que la Culture et le Savoir ne s’obtiennent que grâce à un long travail acharné ? Pour les uns et pour prouver le contraire les autres, voici quelques idées pour découvrir tout cela et plus. Les auteurs vous entraîneront hors des sentiers battus, souvent avec humour et sans prise de tête, dans des voyages surprenants.

Nous sommes heureux de vous dévoiler le palamarès du 15^e concours BD d'Antony.

Vous pouvez découvrir des reproductions des planches lauréates à la médiathèque Anne Fontaine jusqu'à la fin de l'été.

Bravo et merci à tous les participants.

C'est avec une des bandes les plus marquantes du XX^e siècle que nous terminons cette évocation de l'art du portrait en BD. Je remercie encore les élèves de première et terminale, option histoire des arts, du Lycée Descartes, qui ont lu et chroniqué les titres que nous vous avons partagé, ainsi que leurs professeures qui nous ont sollicitées pour ces interventions. Je laisse la place à Antoine B. qui s'est confronté à la seule bande dessinée ayant reçu le prix Pulitzer, Maus de Art Spiegelman.

Nous nous retrouvons pour cette avant-dernière chronique autour de l'art du portrait en bande dessinée avec le grand œuvre de David Vandermeulen, la biographie monstre du chimiste allemand Fritz Haber auquel Madé s'est attaqué.

Poursuivons, avec cette fois, un portrait de femme et d'artiste, une des réussites, à mon sens, de la collection Les grands peintres aux éditions Glénat. Poursuivons donc, avec ce portrait de Tamara de Lempicka que Léa a choisi et a apprécié.

Nous poursuivons notre exploration du portrait en bande dessinée avec la découverte du travail introspectif d'Alison Bechdel par A. H.

"Pendant les vacances de noël j’ai pu lire la BD Fun Home d’Alison Bechdel. Elle raconte l’histoire d’Alison, racontant sous de nombreux angles sa relation avec son père. De son enfance jusqu'à la mort de ce dernier quand elle avait 20 ans. Le titre Fun Home est l’abréviation de funeral home, le lieu de travail du père d’Alison.