C’est le troisième roman de cet auteur que je lis et comme dans les deux autres, L’imprévisible et Le Turquetto, l’art et les artistes jouent un rôle central.
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Chronique France CultureEn 1937, dans la Russie soviétique, les religieux sont pourchassés et exécutés, les églises et monastères fermés et leurs possessions détruites. Un groupe de moines rescapés va tenter de sauver le maximum d’œuvres. En 2000, un photographe français de renom découvre tout à coup, à la mort de son père, que la vie de celui-ci recèle des secrets et qu’il a des liens avec la Russie. Et les événements de 1937 réapparaissent dans le récit.
Ce roman se lit facilement : il est fait de chapitres courts et une part de l’intrigue prend le lecteur. Dès le début, on pressent des secrets dans la vie de ces moines, on se demande ce qu’il advient d’eux et de ces trésors sauvés de la destruction.
En même temps, Metin Arditi mêle les interrogations de ses héros, sur leur art, sur leur pays la Russie et son destin. Son histoire est basée, au départ, sur un personnage réel. Une lecture agréable.
Retrouvez ce roman dans les Médiathèques d'Antony.
Mots-clés rentrée littéraire 2013, roman, France
Lien croisé
Vendredi 27/09/2013 à 15:17
Site des médiathèques d'Antony : " sont jetées sur les voies du RER, non loin de ch...lundi 23 septembre 2013 18:40"