Nous avions envie de vous parler de Jean Rochefort, pas d’hagiographie, de nécrologie ou d’articles Wikipédia en vue…Plutôt un petit calepin d’impressions prises sur le vif, l’empreinte que cet artiste a pu laisser dans nos esprits.
« Hiouma…ah l’humour c’est merveilleux… ».
« Hiouma…ah l’humour c’est merveilleux… ».
Dans Ridicule Jean Rochefort, marquis de Bellegarde s’extasie d’une réplique pleine de pertinence d’un comparse anglais sensible aux bons mots visiblement. Et déjà un portrait se dessine, celui d’un homme intrinsèquement lié aux joutes verbales, à la gouaille sans pareille et aux saillies drolatiques.
Nombreux d’entre nous conservent un souvenir indélébile D’un éléphant ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis.
Gil garde la mémoire d’une voix (que les enfants peuvent découvrir très tôt) Et d’une partie de tennis restée dans les annales.
Laurence et Nathalie R goûtent particulièrement les effets intempestifs d’une certaine bouche d’aération aux effets dévastateurs pour les cœurs…et les imperméables!
Marie-Christine B. se souvient d’Angélique et le Roy Où tout jeune déjà et affublé d’une perruque peu recommandable il avait cette présence si particulière à l’écran, que nul autre dans le cinéma français n’a jamais occupé. Elle s’enthousiasme sur son flegme et sur cet excellent cavalier qui se fait médiocre pour les besoins d’un film.
Christelle l’a découvert dans Cartouche et l’applaudit dans le Grand Blond en inspecteur Toulouse, chef des Services secrets français, froid, manipulateur et tellement caustique. Las ! « « le pâté en croute de maman » reste un summum dans le genre ubuesque. Laurence M et Maryse louent son élégance, son charme indéfinissable et ses talents de commentateur hilarant aux jeux Olympiques de 2004.
Marie-Christine R. s’attarde sur son amour indéfectible des chevaux Nous rappelle cette pub d’Amaguiz où en quelques secondes pour un produit banal d’assurance tout ce qui le rattache à notre mémoire (timbre particulier, élégance et dérision) crève l’écran. Pour Marie-Christine, Le Crabe Tambour et Que la Fête Commence sont les dignes reflets du talent de Jean Rochefort. Une impression générale d’intelligence folle, de flegme et de discrétion.
Céline L le voit en grand seigneur , pour Françoise R. il lui faisait penser à un de ses grands-pères par sa douceur et son allure à nulle autre pareil, Barbara reste touchée par son départ…toute une époque.
On aurait aimé le voir en flamboyant Don Quichotte film maudit de Terry Gilliam Mais on le découvre délicieusement vieillissant dans ou les génialissimes adaptations de Maupassant.
Enfin beaucoup d’entre nous sont charmés par ses prestations dans les « Boloss des Belles Lettres » où on retrouve toute sa prestance, sa pertinence et son impertinence, à découvrir ici :
Retrouvez l’intégralité des titres cités (et d’autres) dans notre catalogue
Nombreux d’entre nous conservent un souvenir indélébile D’un éléphant ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis.
Gil garde la mémoire d’une voix (que les enfants peuvent découvrir très tôt) Et d’une partie de tennis restée dans les annales.
Laurence et Nathalie R goûtent particulièrement les effets intempestifs d’une certaine bouche d’aération aux effets dévastateurs pour les cœurs…et les imperméables!
Marie-Christine B. se souvient d’Angélique et le Roy Où tout jeune déjà et affublé d’une perruque peu recommandable il avait cette présence si particulière à l’écran, que nul autre dans le cinéma français n’a jamais occupé. Elle s’enthousiasme sur son flegme et sur cet excellent cavalier qui se fait médiocre pour les besoins d’un film.
Christelle l’a découvert dans Cartouche et l’applaudit dans le Grand Blond en inspecteur Toulouse, chef des Services secrets français, froid, manipulateur et tellement caustique. Las ! « « le pâté en croute de maman » reste un summum dans le genre ubuesque. Laurence M et Maryse louent son élégance, son charme indéfinissable et ses talents de commentateur hilarant aux jeux Olympiques de 2004.
Marie-Christine R. s’attarde sur son amour indéfectible des chevaux Nous rappelle cette pub d’Amaguiz où en quelques secondes pour un produit banal d’assurance tout ce qui le rattache à notre mémoire (timbre particulier, élégance et dérision) crève l’écran. Pour Marie-Christine, Le Crabe Tambour et Que la Fête Commence sont les dignes reflets du talent de Jean Rochefort. Une impression générale d’intelligence folle, de flegme et de discrétion.
Céline L le voit en grand seigneur , pour Françoise R. il lui faisait penser à un de ses grands-pères par sa douceur et son allure à nulle autre pareil, Barbara reste touchée par son départ…toute une époque.
On aurait aimé le voir en flamboyant Don Quichotte film maudit de Terry Gilliam Mais on le découvre délicieusement vieillissant dans ou les génialissimes adaptations de Maupassant.
Enfin beaucoup d’entre nous sont charmés par ses prestations dans les « Boloss des Belles Lettres » où on retrouve toute sa prestance, sa pertinence et son impertinence, à découvrir ici :
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Mots-clés rochefort jean
Hommage délicat
Mercredi 18/10/2017 à 16:47
Merci à Christelle P. pour cet hommage à ce grand comédien, tout en finesse et composés de souvenirs glanés auprès de différentes personnes de l'équipe des médiathèques. Bravo pour cette très belle idée !
Lien croisé
Mardi 23/01/2018 à 11:51
Site des médiathèques d'Antony : "ord, 2016 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Périodes de sécheresse, fonte des glaces, phénomènes climati...samedi 4 novembre 2017 16:04Un souvenir de Jean Rochefort "