Eric-Emmanuel Schmitt nous fait découvrir la cruauté que peut revêtir le pardon à travers quatre nouvelles.

 « Les sœurs Barbarin » nous transporte dans les méandres de la jalousie entre sœurs. Quand les jumelles naissent, Lily bénéficie de toute l’attention des autres et Moïsette, sa jumelle, est laissée pour compte. Si Lily donne à sa sœur toute son amitié, Moïsette ne peut s’empêcher de lui faire payer silencieusement son quotidien si parfait…

 Pendant un séjour en montagne, on défie William de séduire la jolie mais simplette du village. Des années plus tard, il s’aperçoit que son passé, qu’il lui plaise ou non, peut finalement s’avérer utile et découvre l’amour inconsidéré.

 Qu’est-ce qui conduit une mère dont la fille a été violée puis tuée à rendre visite régulièrement à l’assassin de celle-ci ? C’est la question que les proches d’Elise –et le lecteur- se posent pendant cette nouvelle prenante et mystérieuse.
 

« Dessine-moi un avion » raconte l’amitié naissante d’un vieil homme et une petite fille, construite autour du Petit Prince de Saint-Exupéry. Si la nouvelle débute avec un ton léger, c’est un véritable vol plané émotionnel que l’auteur nous propose comme final.

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